Comme vous l'aviez vu dans l'article sur les prémices de l'installation du poulailler, nous avions débarrassé les restes de l'ancien poulailler pour pouvoir motoculter le terrain et semer la nouvelle pelouse.

Début avril, l'entreprise spécialisée en espaces verts est venue passer le motoculteur, procéder au ratissage du sol et au semis du gazon.

Nous avons choisi un mélange de fétuques et de ray grass pour un aspect esthétique mais aussi une bonne résistance.

Une fois le gazon semé, nous avons patiemment attendu la pluie, puisque l'humidité est une des conditions pour optimiser la pousse du gazon et donc garantir sa beauté. Nous avons attendu un jour, 2 jours, 3 jours... Toujours rien. Du soleil et du vent, juste ce qu'il fallait pour dessécher le sol.

Et zhom, parti faire de la plongée à l'autre bout de la France, qui me demande royalement d'arroser 500m² à l'arrosoir. Voui voui, à l'arrosoir, vous avez bien lu, parce qu'on n'a pas de tuyau d'arrosage. Mais bien sûr! Ma mère et moi, on s'est coltiné je ne sais combien d'allers et retours chargées de nos 2 arrosoirs pour arroser cette grande surface avant que le voisin ne nous prenne en pitié et nous propose de nous prêter son propre tuyau et de le raccorder à son arrivée d'eau. Ouf! Du coup, il a eu droit à sa petite boîte de chocolats, il méritait bien ça!

Dès le retour de zhom, je l'ai envoyé acheter 100m de tuyau d'arrosage pour continuer à arroser régulièrement parce que croyez moi ou non mais il n'a pas plu depuis un mois chez nous. Un mois d'avril sans pluie dans la Somme, non mais où va-t'on?!

Grâce à ces arrosages plus efficaces et au bon ensoleillement, le terrain commence doucement à verdir. Ce n'est pas encore installé sur la totalité de la superficie mais ça s'étend de plus en plus.

Normalement, première tonte prévue début juin!

Installation de la nouvelle pelouse

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